« L’entreprise doit faire des profits, sinon elle mourra. Mais si l’on tente de faire fonctionner une entreprise uniquement sur le profit, alors elle mourra aussi car elle n’aura plus de raison d’être »
Plus que jamais, l’Homme d’aujourd’hui doit réviser sa position vis-à-vis beaucoup de choses, à nos jours, on est invité à revoir notre observation aux autres êtres humains qui partagent la terre avec nous, soit disant des humains ou non, et poser une question fondamentale, est ce qui il est possible de continuer d’atteindre des taux de croissance positive dans un monde ou les ressources sont limités. Aujourd’hui le sujet est de première priorité et son actualité nous interpelle. Les chiffres sont terribles : 1,5 milliard d’individus vivent en dessous du seuil de pauvreté, soit moins de un dollar par jour. Près de 27 millions d’enfants ne reçoivent pas les vaccinations nécessaires. Chaque année plus de 500.000 femmes meurent en couche alors qu’elles s’apprêtaient à donner la vie. Pas loin de 7 millions d’enfant meurent de malnutrition avant d’atteindre un an. Et, ce qui est plus révoltant, des poches d’indigence apparaissent de-ci de-là dans les pays développés. La cartographie de la pauvreté, cette malédiction qui frappe les moins nantis d’entre nous, est restée la même et elle fait ses métastases dans les économies avancées. La creuse entre les pays développé et les pays en voie de développement s’élargit, et même dans les pays riche les crises se suivent, le pouvoir d’achat se détériore, le surendettement, le nombre des chômeurs augmente.
Aujourd’hui les ressources s’épuisent et les statistiques ne donnent pas beaucoup d’espoir, loin des discours politiques sur l’effet de sert et les changements climatiques et loin des discours rigide sur la distribution et soit disant juste de la richesse, il est clair que l’avenir de l’humanité sur cette terre est menacé si on continue à adopté un modèle du développement semblable à celui des deux siècles passés.
